 |
European Radio Amateurs’ Organizationthe open global radio amateurs community |
Prévisions de l’Activité Solaire : Infos du SIDC-ON-RWC
Bienvenue au « Solar Influences Analysis Data9 Center » (SIDC), qui est le département solaire de recherche en physique de l’Observatoire Royal de Belgique .
Le SIDC comprend le Centre mondial de données pour l’indice d’activité solaire et le Centre d’alerte ISES de la Région de Bruxelles pour les prévisions météorologie spatiale.
Prévisions de l’Activité Solaire :Infos du SIDC-ON-RWC BELGIUM
BULLETIN SOLAIRE SIDC Le 27/02/2025,
Régions Actives du Soleil et Éruptions
L’activité éruptive solaire a été faible au cours des dernières 24 heures, avec seulement des éruptions de classe C identifiées. Un total de 10 groupes de taches solaires numérotés ont été observés sur le disque au cours de cette période.
L’activité éruptive a été dominée par le groupe de taches solaires SIDC 405 (NOAA Région Active 3996), qui a une configuration magnétique de type bêta et est actuellement situé sur le limbe ouest. Les groupes de taches solaires SIDC 368 (NOAA Région Active 4006), SIDC 408 (NOAA Région Active 3998) et SIDC 409 (NOAA Région Active 4000) sont tous classés comme de type magnétique bêta-gamma, mais seul le groupe SIDC 408 a contribué à l’activité de faible niveau.
Les autres régions actives sont pour la plupart simples et ont soit montré des signes de déclin, soit sont restées calmes. L’activité éruptive solaire devrait être à un niveau modéré au cours des prochaines 24 heures, avec des éruptions de classe M probables et une faible possibilité d’une éruption isolée de classe X.
Éjections de Masse Coronale
L’éjection de masse coronale (CME) liée à l’éruption d’un filament sur le disque, signalée le 26 février, devrait avoir une petite composante dirigée vers la Terre. Un impact indirect pourrait être attendu le 28 février. Elle sera probablement mélangée au flux rapide en cours et pourrait rester indistincte dans les données du vent solaire in situ.
Aucune autre CME dirigée vers la Terre n’a été observée dans les images coronographiques disponibles.
Trous Coronaux
Un des trois trous coronaux de polarité positive, ayant traversé le méridien central le 25 février, est encore présent sur le méridien central. Les flux rapides provenant de ces trous coronaux devraient impacter continuellement la Terre au cours des 3 à 4 prochains jours.
Vent Solaire
Au cours des dernières 24 heures, les paramètres du vent solaire (ACE et DSCOVR) ont reflété des conditions de vent solaire modérément perturbées liées à l’arrivée d’un flux rapide (HSS). Il semble s’agir d’une arrivée anticipée du HSS associé à plusieurs trous coronaux de polarité positive ayant traversé le méridien central le 25 février.
L’intensité du champ magnétique interplanétaire, B, a atteint 20 nT avec un minimum de Bz à -11,5 nT. La vitesse du vent solaire a atteint un maximum de 676 km/s. L’angle phi du champ magnétique est resté principalement dans le secteur positif (dirigé à l’opposé du Soleil).
Les conditions du vent solaire devraient rester perturbées dans les prochains jours sous l’influence continue des flux rapides, potentiellement mélangés à un impact indirect attendu le 28 février.
Géomagnétisme
Les conditions géomagnétiques des dernières 24 heures ont été principalement calmes à actives, avec un niveau de tempête mineure atteint en Belgique entre 11h et 12h UTC le 27 février. Des conditions de tempête modérée ont été enregistrées à l’échelle mondiale entre 09h et 12h UTC le 27 février, avec un indice Kp NOAA atteignant 5,76.
Des tempêtes géomagnétiques mineures à modérées pourraient survenir les 27 et 28 février avec l’arrivée d’un flux rapide en cours et un possible impact indirect d’une CME le 28 février.
Niveaux de Flux de Protons
Au cours des dernières 24 heures, le flux de protons supérieur à 10 MeV (GOES) a continué de diminuer vers des niveaux de fond et devrait rester à des niveaux nominaux au cours des prochaines 24 heures.
Flux d’Électrons à l’Altitude Géostationnaire
Le flux d’électrons supérieur à 10 MeV des satellites GOES 16 et GOES 18 est resté en dessous du seuil de 1000 pfu au cours des dernières 24 heures. Il devrait rester en dessous de ce seuil dans les 24 heures à venir et commencer à augmenter dans les prochains jours.
La fluence électronique sur 24 heures était à des niveaux nominaux et devrait le rester dans les prochaines 24 heures, avec une possible augmentation vers des niveaux modérés le 1er mars.
Source en anglais SIDC ICI
Le Hamfest du comté de Warren prévu pour le 8 mars :
De AB7RG: thecourierexpress.com le 2025-02-26
YOUNGSVILLE — BSA Crew 73 organisera un Hamfest le samedi 8 mars de 7 h à midi à l’église méthodiste libre de Youngsville. Le Hamfest du comté de Warren est un événement annuel qui réunit des passionnés de radio amateur de toute la région. Cette célébration de tout ce qui concerne la radio amateur offre une occasion unique aux passionnés de se rencontrer, de partager leurs connaissances et de présenter leurs derniers projets. L’une des caractéristiques les plus populaires du Hamfest est le marché aux puces, où les participants peuvent acheter, vendre et échanger du matériel radio, des pièces et des accessoires. Il y aura également des discussions en table ronde animées par des experts locaux de la région. Ces sessions pratiques offrent des opportunités d’apprentissage précieuses tant pour les opérateurs novices qu’expérimentés. Une autre partie importante de notre Hamfest est le test de licence. Toute personne présente peut passer son test pour obtenir sa licence FCC ou mettre à jour sa licence actuelle.
UN MILLION D’ASTÉROÏDES EN PROVENANCE D’ALPHA CENTAURI
Le 27/02/2025
Si vous voulez voyager vers Alpha Centauri, cela prendra des milliers d’années avec la technologie actuelle. Il serait peut-être plus facile d’attendre. Les astronomes savent depuis longtemps que ce système stellaire triple se rapproche de la Terre pour une rencontre rapprochée dans 28 000 ans. En effet, une nouvelle étude affirme que des astéroïdes provenant d’Alpha Centauri sont déjà ici.
« Nous estimons qu’un million d’objets de la taille d’un astéroïde issus du système Alpha Centauri pourraient se trouver dans le système solaire en ce moment », déclare Cole Gregg, doctorant à l’Université de Western Ontario (UWO) et co-auteur de l’étude récemment acceptée par le Planetary Science Journal. Cette simulation issue de l’étude montre des astéroïdes entrant dans le système solaire alors qu’Alpha Centauri passe à proximité :
L’intérêt pour les astéroïdes extraterrestres a explosé en 2017 lorsque ‘Oumuamua a traversé le système solaire. Le professeur Avi Loeb de Harvard a suggéré que cet objet en forme de cigare pourrait être un vaisseau spatial extraterrestre, mais la plupart des astronomes ont préféré appliquer le rasoir d’Occam. Il s’agissait probablement d’un corps naturel provenant d’un autre système stellaire, ont-ils argumenté.
Pour étudier la probabilité de tels objets, Gregg et son co-auteur Paul Wiegert (également de l’UWO) ont décidé d’analyser le cas d’Alpha Centauri, le système stellaire le plus proche de la Terre. Au sein d’Alpha Centauri, trois étoiles et un nombre inconnu de planètes utilisent constamment leur gravité pour projeter des objets dans l’espace. Poussière, comètes, astéroïdes, anciens planétésimaux : tout cela s’échappe du système Alpha Centauri dans un nuage semblable à celui de Pigpen dans les bandes dessinées Peanuts. En exécutant une simulation couvrant plus de 100 millions d’années, Gregg et Wiegert ont montré qu’un nombre significatif de ces objets pouvait nous atteindre.
À droite : Le premier objet interstellaire connu à visiter notre système solaire, ‘Oumuamua
Alpha Centauri n’est pas le seul système stellaire susceptible d’envoyer des astéroïdes vers nous. « Plusieurs ont eu (ou auront) des rencontres rapprochées avec le système solaire », note Gregg. « Un exemple de passage passé est celui de l’étoile de Scholz, qui a probablement traversé le nuage d’Oort il y a environ 70 000 ans. Un exemple de passage futur est Gilese 710, qui devrait passer dans 1,3 million d’années également à l’intérieur du nuage d’Oort. »
Les astéroïdes extraterrestres ne sont donc *pas* inhabituels. Pouvons-nous maintenant en trouver ?
C’est plus difficile qu’il n’y paraît. Le système solaire est immense, et même avec un million d’astéroïdes d’Alpha Centauri, « la fraction observable de ces objets reste faible, car il n’y a qu’une probabilité de 10-6 qu’un d’entre eux se trouve à moins de 10 UA du Soleil », écrivent Gregg et Wiegert. Une meilleure approche serait de rechercher des météores. Leur analyse suggère que le système solaire pourrait être jonché de poussière provenant d’Alpha Centauri. Dans le ciel nocturne terrestre, jusqu’à 10 météores par an pourraient provenir de ce lointain système stellaire.
C’est une pensée intéressante à avoir la prochaine fois que vous verrez une étoile filante…
Lisez l’étude originale ici : https://arxiv.org/abs/2502.03224
Info de la Source Publié * ICI
Le graphique ci-dessus montre une carte de différence foF2 en temps quasi réel. Les différences sont calculées en soustrayant la mesure foF2 d’hier de la mesure foF2 actuellement observée.
Les observations foF2 d’hier et actuelles de foF2 avaient des attributs horaires et géographiques identiques. Les différences absolues sont en unités de MHz. Les régions en rouge indiquent
des fréquences nettement inférieures par rapport à la même heure hier.
Prévisions de l’Activité Solaire : Infos du SIDC-ON-RWC
Bienvenue au « Solar Influences Analysis Data9 Center » (SIDC), qui est le département solaire de recherche en physique de l’Observatoire Royal de Belgique .
Le SIDC comprend le Centre mondial de données pour l’indice d’activité solaire et le Centre d’alerte ISES de la Région de Bruxelles pour les prévisions météorologie spatiale.
Prévisions de l’Activité Solaire :Infos du SIDC-ON-RWC BELGIUM
BULLETIN SOLAIRE SIDC Le 26/02/2025,
Troux coronaux
Trois trous coronaux de polarité positive ont traversé le méridien central au cours des dernières 24 heures. Des flux de vent solaire rapide émanant de ces trous coronaux pourraient être attendus sur Terre le 28 février.
Vent solaire
Au cours des dernières 24 heures, les paramètres du vent solaire (ACE et DSCOVR) ont reflété des conditions modérément perturbées. L’intensité du champ magnétique interplanétaire, B, a atteint 17.6 nT avec un minimum Bz de -10 nT. La vitesse du vent solaire variait en douceur entre 344 km/s et 438 km/s. L’angle phi du champ B est passé du secteur négatif au secteur positif (dirigé loin du Soleil). Les conditions du vent solaire devraient rester perturbées au cours des prochaines 24 heures, avec de possibles impacts légers les 26 et 27 février, et l’arrivée prévue d’un flux de vent solaire rapide le 28 février.
Géomagnétisme
Les conditions géomagnétiques au cours des dernières 24 heures étaient calmes à actives. Des conditions calmes à actives sont attendues pour les prochaines 24 heures, avec de possibles tempêtes mineures isolées. Des conditions agitées à actives avec des niveaux de tempête mineure probables et des risques de tempêtes géomagnétiques modérées pourraient être attendus le 28 février avec l’arrivée combinée des flux de vent solaire rapide.
Niveaux de flux de protons
Au cours des dernières 24 heures, le flux de protons supérieur à 10 MeV mesuré par GOES a diminué en dessous du seuil de tempête de radiation mineure de 10 pfu et est actuellement en tendance descendante. Il devrait continuer à diminuer vers des niveaux de fond au cours des prochaines 24 heures. Une alerte a été émise en raison des risques persistants d’augmentations liées à une activité éruptive solaire potentielle des trois régions actives complexes visibles sur le disque solaire.
Flux d’électrons en orbite géostationnaire
Le flux d’électrons supérieur à 10 MeV mesuré par GOES 16 et GOES 18 est resté en dessous du seuil de 1000 pfu au cours des dernières 24 heures et devrait rester ainsi pour les prochaines 24 heures. La fluence électronique sur 24 heures était à des niveaux nominaux et devrait rester stable.
Source en anglais SIDC ICI
Mises à jour du blog de la Station spatiale
Progress Cargo Craft quitte la Station après six mois
25 février 2025: Configuration internationale de la station spatiale. Quatre vaisseaux spatiaux sont garés à la station spatiale, y compris le vaisseau spatial de l’équipe de Dragon SpaceX, le navire de réapprovisionnement de Northrop Grumman Cygnus, le navire de l’équipage MS-26 SOYUZ et le navire de réapprovisionnement de Progress 90.
Info de la Source Publié * ICI
Au large de la côte australienne, onze ans après la disparition de l’avion du vol MH370, une nouvelle recherche commence. L’appareil de type Boeing 777-200ER était en route de Kuala Lumpur (Malaisie) à Pékin (Chine) dans la nuit du 8 mars 2014, mais n’est jamais arrivé. À bord se trouvaient 239 passagers provenant de 14 pays. Les recherches précédentes ont été infructueuses. L’entreprise Ocean Infinity a quitté Maurice il y a quelques jours pour la nouvelle zone de recherche délimitée.
Bien que la zone supposée ait déjà été explorée lors d’une mission précédente, cette fois, la zone de recherche a été précisée en fonction de nouvelles informations.
Au cours des dernières années, des débris plus petits ont été retrouvés dans l’océan Indien occidental et ont pu être associés à MH370. En conséquence, certains scientifiques ont effectué des analyses de dérive pour délimiter le lieu potentiel du crash. De plus, des crustacés marins ont été trouvés sur les débris, ce qui a permis de déterminer une zone probable.
Un rôle important pourrait également être joué par le service de radiocommunication amateur dans la localisation de l’appareil. Pour la précision de la nouvelle zone de recherche, des études ont été menées par l’ingénieur aéronautique Richard Godfrey, qui vit à Francfort, basées sur des données historiques de communication radio WSPR. Godfrey utilise les signaux de cette nuit dans la base de données comme un radar pour tirer des conclusions sur le trajet de vol de l’appareil disparu.
La nouvelle zone de recherche couvre une superficie de 15 000 m² dans le sud de l’océan Indien, à environ 1500 km au large de la côte australienne. Divers « points chauds » seront maintenant examinés, que les chercheurs ont identifiés comme les sites de crash les plus probables. Le terrain sous-marin est difficile, avec une gorge et un volcan sous-marin dans la zone de recherche. Il y a également eu des voix critiques concernant l’utilité des signaux WSPR (Weak Signal Propagation Reporter) pour les analyses radar. Cependant, il semble qu’il soit de la nature des choses de suivre chaque piste possible pour enfin retrouver l’appareil.
Indépendamment de cela, il reste à voir si l’entreprise Ocean Infinity pourra obtenir de nouvelles informations sur le sort de l’appareil au cours des prochaines semaines. De grandes parties de la structure de l’avion, y compris le fuselage avec les moteurs ou le train d’atterrissage, restent introuvables. Ocean Infinity a conclu un accord « pas de découverte, pas de paiement ». L’entreprise ne sera rémunérée que si elle réussit. Le navire de recherche peut être suivi via un site web : www.mh370-caption.net/index.php/armada-tracking/.
Info de la Source * ICI
Comment les dirigeants IT peuvent aider avec les communications d’urgence :
De AB7RG: forbes.com le 2025-02-25
Les dirigeants IT ont longtemps été encouragés à aller au-delà des détails techniques et à se concentrer sur la résolution des problèmes commerciaux à un niveau stratégique. Pourtant, lorsqu’une catastrophe survient – comme une catastrophe naturelle qui coupe l’électricité et perturbe les communications – on s’attend soudainement à ce qu’ils reprennent un rôle pratique, en restaurant les systèmes et en reconnectant les employés. Ce changement d’attentes semble brusque et injuste. Vraiment ? Le gestionnaire AI que nous avons engagé fuit les incendies de forêt, incapable de communiquer, et nous cherchons une solution du côté de l’IT. Alors, les dirigeants IT peuvent-ils vraiment aider ? Oui, ils peuvent. Un réseau de communication mondial existe déjà – construit pour les situations d’urgence, privé mais accessible au public. Il est opérationnel, attendant que nous allumions nos radios pour nous connecter. Et le meilleur dans tout ça ? C’est gratuit. La radio amateur (aussi connue sous le nom de « ham radio ») est une technologie vieille d’un siècle qui reste pertinente aujourd’hui. Mais nous ne pouvons pas en dépendre pour les communications d’urgence, car, tout simplement, la plupart des gens ne savent pas comment l’utiliser.
Avancée de Reticulate Micro : Diffusion vidéo en temps réel sur radio HF :
De AB7RG: prnewswire.com le 2025-02-25
Reticulate Micro, Inc. (OTCQB : RMXI) (« Reticulate Micro », « nous » ou « l’entreprise »), une société de produits logiciels spécialisée dans la compression vidéo avancée et les solutions de diffusion en continu, a annoncé aujourd’hui que la plateforme vidéo VAST de Reticulate Micro a réalisé une avancée dans les communications militaires en diffusant avec succès des vidéos via une liaison radio à haute fréquence (HF) entre Tucson et San Diego à des débits ultra-faibles de 10 kbps à 100 kbps. Cette avancée permet la transmission en direct de vidéos dans des environnements à faible bande passante et isolés, où de telles capacités étaient auparavant inaccessibles. La radio HF fait référence aux ondes radio dans la plage de fréquences de 3 à 30 MHz. La radio HF est connue pour sa capacité à fournir des communications à longue distance en faisant rebondir les signaux sur l’ionosphère (un processus appelé propagation par onde céleste). Cela la rend précieuse pour les communications militaires, maritimes, aériennes et d’urgence, en particulier dans les zones éloignées où les communications par satellite ou par Internet peuvent être indisponibles.
Un homme de Bryan regarde vers l’avenir avec son nouveau rôle dans la radio amateur de l’État :
De AB7RG: thevillagereporter.com le 2025-02-25
COMMUNIQUÉ DE PRESSE — Alan D. « Al » Andres, un habitant rural de Bryan et membre de la Williams County Amateur Radio Association, se réjouit de pouvoir promouvoir la valeur de la radio amateur à travers l’État dans son nouveau rôle de l’un des deux assistants gestionnaires de section de l’ARRL, l’Association nationale de la radio amateur. Dans ce nouveau rôle bénévole, Andres aura pour mission de soutenir la section de l’Ohio, y compris le personnel impliqué dans des domaines tels que les communications d’urgence, la gestion du trafic de messages, la surveillance bénévole, les relations gouvernementales, la création de liens solides au sein des communautés, les services d’information pour les amateurs et la coopération avec les clubs affiliés.
Le graphique ci-dessus montre une carte de différence foF2 en temps quasi réel. Les différences sont calculées en soustrayant la mesure foF2 d’hier de la mesure foF2 actuellement observée.
Les observations foF2 d’hier et actuelles de foF2 avaient des attributs horaires et géographiques identiques. Les différences absolues sont en unités de MHz. Les régions en rouge indiquent
des fréquences nettement inférieures par rapport à la même heure hier.
EXPLOSION SIGNIFICATIVE SUR LA FACE CACHÉE ET CME
Le 26/02/2025
La Terre vient d’esquiver une balle. Dans la nuit du 24 février, quelque chose (probablement une tache solaire active) a explosé sur la face cachée du soleil. L’Observatoire de la dynamique solaire de la NASA a observé une impressionnante projection de plasma émergeant du bord sud-ouest du soleil :
Bien que l’éruption ait été partiellement éclipsée par le bord du soleil, elle a tout de même été enregistrée par les satellites de la NOAA comme un événement de catégorie M3.9. L’éruption non obstruée était probablement de classe X.
Les coronographes de SOHO suivent une CME très lumineuse émergeant du site de l’explosion. Si elle frappait la Terre (ce qui ne sera pas le cas), la CME provoquerait probablement une tempête géomagnétique forte à sévère.
Correction : Nous n’avons pas esquivé toutes les balles. Des protons solaires pleuvent actuellement sur la Terre lors d’une tempête de radiation de classe S1 en intensification. Accélérés dans l’espace par l’éruption de la face cachée, ces protons ont suivi la Spirale de Parker pour atteindre notre planète.
L’effet principal de la tempête de radiation en cours est un événement d’absorption de la calotte polaire (PCA) :
Les zones rouges de cette carte mondiale montrent où les transmissions à ondes courtes sont absorbées. Les fréquences inférieures à 15 MHz sont presque totalement coupées, tandis que celles en dessous de 35 MHz sont atténuées. Le PCA devrait probablement persister encore 24 heures.
Info de la Source Publié * ICI
Prévisions de l’Activité Solaire : Infos du SIDC-ON-RWC
Bienvenue au « Solar Influences Analysis Data9 Center » (SIDC), qui est le département solaire de recherche en physique de l’Observatoire Royal de Belgique .
Le SIDC comprend le Centre mondial de données pour l’indice d’activité solaire et le Centre d’alerte ISES de la Région de Bruxelles pour les prévisions météorologie spatiale.
Prévisions de l’Activité Solaire :Infos du SIDC-ON-RWC BELGIUM
BULLETIN SOLAIRE SIDC Le 25/02/2025,
Régions Actives Solaires et Éruptions
L’activité d’éruptions solaires a été modérée au cours des dernières 24 heures avec quatre éruptions de classe M. L’activité la plus intense a été une éruption M3.9, débutant à 21:50 UTC, se terminant à 23:32 UTC, et atteignant son pic à 23:06 UTC le 24 février, produite par une région active derrière le limbe ouest. Un total de 12 groupes de taches solaires numérotés ont été identifiés, avec le Groupe de Taches Solaires SIDC 408 (NOAA Région Active 3998) et le Groupe SIDC 409 (NOAA Région Active 4000) étant les plus grands et les plus complexes sur le disque solaire visible. Ces deux régions sont classées de type magnétique bêta-gamma-delta et ont contribué à l’activité de classe M, avec le Groupe SIDC 408 produisant une éruption M3.6 atteignant son pic à 11:59 UTC le 25 février. Les autres régions actives sont principalement stables et calmes. L’activité d’éruptions solaires devrait rester à un niveau modéré dans les jours à venir avec des éruptions de classe M probables et une probabilité de 25 % pour des éruptions de classe X.
Éjections de Masse Coronale
Une grande éjection de masse coronale (CME) quasi complète a été détectée dans les images LASCO/C2 vers 22:00 UTC le 24 février. L’éruption est liée à l’éruption M3.9 de longue durée derrière le limbe ouest et est associée à des émissions radio de type II et IV. La CME est estimée être en arrière-plan et n’est pas attendue sur Terre. Une CME étroite vers l’ouest a été observée dans les données du coronographe LASCO/C2 vers 11:00 UTC le 24 février. Elle est probablement liée à une éruption M3.3 produite par le Groupe SIDC 409, atteignant son pic à 07:02 UTC le 24 février, et à une éruption de filament à proximité. L’éruption est probablement associée à une signature d’affaiblissement coronal observée le 24 février. La CME est modélisée pour s’éloigner de la ligne Soleil-Terre, avec une possible influence mineure le 27 février. Aucune autre CME dirigée vers la Terre n’a été observée.
Trous Coronaux
Plusieurs trous coronaux de polarité positive approchent ou traversent le méridien central. Des flux à grande vitesse émanant de ces trous coronaux pourraient être attendus sur Terre le 28 février.
Vent Solaire
Au cours des dernières 24 heures, les paramètres du vent solaire (ACE et DSCOVR) ont reflété des conditions modérément perturbées, probablement liées à l’arrivée d’une ICME en cours. L’intensité du champ magnétique interplanétaire, B, a atteint 17.5 nT avec un minimum de Bz à -13 nT. La vitesse du vent solaire est restée inférieure à 500 km/s. L’angle phi du champ B a changé d’orientation du secteur négatif au positif, puis de retour au secteur négatif (dirigé vers le Soleil). Les conditions du vent solaire devraient rester légèrement perturbées au cours des prochaines 24 heures.
Géomagnétisme
Les conditions géomagnétiques des dernières 24 heures ont été globalement calmes à actives, avec deux périodes mineures de tempêtes localisées en Belgique entre 19:00 et 21:00 UTC le 24 février. Des conditions calmes à légèrement perturbées sont attendues au cours des prochaines 24 heures.
Niveaux de Flux de Protons
Le flux de protons supérieur à 10 MeV mesuré par GOES a dépassé le seuil mineur de tempête de radiation de 10 pfu autour de 00:45 UTC le 25 février, en lien avec l’éruption M3.9 de longue durée et une CME associée. Le flux de protons > 50 MeV a montré seulement de légères augmentations, tandis que les flux de protons de plus haute énergie sont restés à des niveaux de fond. L’événement de protons est actuellement en diminution, mais une nouvelle augmentation reste possible avec une activité solaire continue.
Flux d’Électrons en Orbite Géostationnaire
Le flux d’électrons supérieur à 10 MeV mesuré par GOES 16 et GOES 18 est resté sous le seuil de 1000 pfu au cours des dernières 24 heures et devrait rester à ce niveau dans les prochaines 24 heures. La fluence des électrons sur 24 heures était à des niveaux normaux et devrait le rester.
Source en anglais SIDC ICI
Mises à jour du blog de la Station spatiale
Équipage en congé lundi avant la semaine de la recherche, missions de spatial de cargaison
Les membres de SpaceX Crew-9 de la NASA posent ensemble pour un portrait dans le module Unity de la Station spatiale internationale. De gauche à droite, l’astronaute de la NASA Suni Williams, Roscosmos Cosmonaut Aleksandr Gorbunov et les astronautes de la NASA Nick Hague et Butch Wimore.
Info de la Source Publié * ICI
Le graphique ci-dessus montre une carte de différence foF2 en temps quasi réel. Les différences sont calculées en soustrayant la mesure foF2 d’hier de la mesure foF2 actuellement observée.
Les observations foF2 d’hier et actuelles de foF2 avaient des attributs horaires et géographiques identiques. Les différences absolues sont en unités de MHz. Les régions en rouge indiquent
des fréquences nettement inférieures par rapport à la même heure hier.
Les inscriptions sont ouvertes pour le RaDAR Rally du 5 avril 2025 :
De AB7RG: radarrally.info le 24 février 2025
RaDAR est une radio amateur à déploiement rapide conçue par Eddie Leighton ZS6BNE. RaDAR encourage l’opération en extérieur avec un défi unique : établir cinq contacts et se redéployer aussi vite que possible en quatre heures. Le RaDAR Challenge est devenu le RaDAR Rally avec quelques ajustements des règles.