L’IARU maintient son point de vue selon lequel la probabilité d’interférences généralisées et soutenues avec les récepteurs du RNSS (par exemple Galileo) dans la bande de 23 cm par
L’activité radioamateur est minime. Le contexte est le point 9.1b de l’ordre du jour de la Conférence mondiale des radiocommunications 2023 (CMR-23), qui vise à examiner les affectations de radio amateur dans la bande de 23 cm
a.
Des études antérieures en préparation de la CMR-23 de l’UIT-R ne tiennent pas compte de l’impact d’un émetteur radio amateur sur une population de récepteurs RNSS entourant une station radio amateur
tation sont placés autour. Seule une estimation statique 1:1 d’une approche de couplage minimal a été supposée. Les volontaires de l’IARU ont désormais une étude ‘Monte Carlo’
mettez. Au lieu de cela, il considère des scénarios simulés impliquant une population fixe et une population mobile de récepteurs du SRNS situés autour d’une station de radio amateur
sont mis en place. Ceci était basé sur une station d’accueil de 100 W et une station de relais EIRP de 25 W.
Les résultats de la simulation indiquent qu’au plus environ
1 % d’une population de récepteurs SRNS fixes et mobiles qui se trouvent à proximité de l’emplacement d’une station de radio amateur émettrice aurait une faible chance de détecter un niveau de signal
au-dessus du seuil de protection du SRNS défini dans les Recommandations pertinentes de l’UIT-R. Dans la plupart des scénarios, le pourcentage est même bien inférieur à 1 %.
Même dans les zones les plus denses d’activité radioamateur et avec le modèle d’interférence le plus faible, le pourcentage reste inférieur à 5%. Une vidéo montre le
Scénarios de simulation : https://storage.iaru-r1.org/index.php/ s /Yg7KnGTsM9K35i3.
Dans l’étude ‘Monte Carlo’, une station de radio amateur émettant en permanence a été supposée.
Les résultats recueillis par l’IARU montrent que même dans les régions les plus actives
radioamateurs, la période pendant laquelle ces transmissions sporadiques sont le plus susceptibles d’être inférieures à 2 % du temps sur une période d’un an.
Par conséquent, l’IARU maintient sa position selon laquelle le potentiel d’interférences généralisées et soutenues entre les transmissions radioamateurs et les récepteurs du RNSS est minime. Le
L’article de l’IARU sur l’étude Mone Carlo est disponible sous forme de fichier PDF à l’adresse :
https://www .iaru-r1.org/wp-content/uploads/2023/03/23cm-Monte-Carlo-
Etude-Mars23.pdf. (Source : Barry, G4SJH ; traduction du site Web de la région 1 de l’IARU)
Info de la Source * ICI